Tous les chemins mènent à l'ouverture (Un brouillon)

Il existe toujours des débats sur si l'Amérique ou l'Europe est plus ouverte. Dans le journal « Villes d’Amérique », l’auteur français Jean-Paul Sartre compare la conception de l'histoire, la formation et la structure des villes américaines et des villes européennes, et il soulève des paradoxes afin de montre aux lecteur ce qui est le facteur fondamental d'ouverture. Les trois paradoxes-clés sont l’existence d beauté dans le « laideur même », la possibilité d’avoir un présent sans passé, et l’ampleur d’impact émotionnel de la planification urbaine.

Tout d'abord, Sartre dit dans le troisième paragraphe : «Rien n’a changé depuis le temps des caravanes vers l’Ouest :on fonde chaque année des villes aux Etats-Unis et il semble que cela se fasse selon les mêmes procédés ». L’expression « chaque année », qui est une fréquence assez haute pour l'établissement des villes, indique que, quoiqu'il semble ennuyeux et restrictif de toujours suivre la même manière, une façon bien établie comme ça simplifie le processus de la fondation d'une ville, et ainsi donne tout le monde les chances d'obtenir une certaine forme d'autonomie, leur permet de quitter son habitation précédente sans inquiétude, et les encourage à s'aventurer dans la région inexplorée. Alors, cet phrase correspond aux mots mystérieux, « Chacun est libre ici, non de critiquer ou de réformer les mœurs, mais de les fuir », dans le dernier paragraphe, et explique bien le commentaire contradictoire de Sartre qu'il existe « une sorte d’émouvante beauté » dans le « laideur même »des villes américaines. Autrement dit, c'est une solution universelle qui peut donner aux gens la confiance en l'incertitude de la liberté absolue qui est idéal à l’avis de Sartre.

Par ailleurs, le quatrième paragraphe dit : « Dans ces villes [américaines] qui vont vite, [...] le passé ne se manifeste pas, comme chez nous, par des « monuments », mais par des « résidus » ... ». Par rapport aux «monuments », qui sont les ouvrages d’architecture destinés à conserver le souvenir, les « résidus » ne sont que des matière et ne contiennent pas d’émotion. C'est-à-dire que des Américains ne se sentent pas très liés aux villes qu’ils ont habitées, et que le passé a peu d’influence sur le présent en Amérique. Bien qu’il semble initialement inhumain d'oublier le passé et impossible de fonder un présent sans le passé, Sartre ne doute ni ne blâme cette manière américaine, et il est même favorables à celle : il dit,dans le dernier paragraphe, que les villes américaines sont « ouvertes sur l’avenir ». Ainsi, il propose que l’avenir est plus important que le passé pour le présent, et quel’obsession de mémoire peut empêcher les citoyens de penser à l'avenir.

En outre, Sartre dit que « on étouffe un peu dans nos villes fermées, que nos rues viennent buter contre des murs, contre des maisons». Il n'est pas très sensé de dire qu'une région autonome est pénible à supporter tout simplement à cause des limites des voies, mais si on compare cette sensation à l'autre remarque, « La rue américaine [...] n’a pas de secrets. C’est une ligne droite, sans mystère », on peut constater que la franchise de la structure des rues peut indiquer qu'il n'y a pas de restriction ou de menace cachée, et que la complexité des rues européennes est ce qui gêne les citoyens de saisir le sens des rues et des villes et ce qui leur donne la crainte que les lieux n'est plus ouvert et que libertés a été perdu. De plus, le fait que Sartre a compris ce qu’une ville américaine était « au bout de quelques jours » et l'opinion de Sartre qu'il est possible pour les gens de«apprend[re] vite » les traits distinctifs des villes américaines suggèrent que la rectitude et la simplicité structurale d'une ville la rendent plus conviviale et plus accueillante pour les étrangers, comme Sartre, qui n'ont pas de connaissance antérieure sur la ville, alors qu'une ville avec des rues remplis d'histoires, comme les rues européennes, est moins accessible pour un étranger. Donc, ce n'est pas une exagération de dire que l'organisation des rues d'une ville peut affecter l'ouverture psychique de la ville.

Essentiellement, les paradoxes rend ce passage bien au-delà d’un journal d'une observation, mais une discussion sociologique et philosophique qui encourage les lecteurs, surtout les lecteurs européens, à réfléchir à l'évolution, l'identité et la liberté de ville ; et de plus, les idées qui sont insinués dans ce texte peuvent peut-être les nombreuses villes qui souffrent les séquelles de la crise économique ou sociale à laisser la mémoire de la prospérité et du malheur qui n'existent plus, et à recommencer à zéro d'une manière franche. Néanmoins, comme Sartre fait l'éloge de tous les aspects de villes américaines, y compris le statut du passé dans la société, la façon dont les villes sont fondées et la planification des routes urbaine. dans ces paradoxes, les paradoxes manifestent aussi qu'il a une inclination pour les villes américaines. Peut-être cette inclinaison est lié à sa croyance existentialiste et paradoxale que « l'homme est condamné à être libre ».

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